Photos du livre : Tête à tête avec la Sierra Nevada andalouse

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Deux randonnées pour une mise en bouche

La résurgence d’eau à 20°
Un bon bain
Il nous faut marcher comme des canards
La grâce de la cascade
Les lauriers dans le cours d’eau asséché
Le pico Veleta et nos souvenirs
Souper dans un cadre ennivrant

Nos premiers 3000

Nous retrouvons notre sentier, il traverse ces launaea arborescens, très piquantes
premier sommet à 3000
Le Veleta à gauche, le Mulhacen à droite
Le panorama de la journée
A gauche notre premier sommet, la crête et nous sommes descendus dans le col entre les deux sommets.

Une journée de détente

Le genêt hérisson ou horrible qui va égratigner nos jambes tout au long du séjour
La papillon se confond…
Papillon au bleu incroyable, ils vont nous accompagner quotidiennement

Une belle série de 3000 au départ de Trevélez

Petit pont de bois
Le chemin se transforme en torrent
Un ru juste à côté du bivouac.
Petit déjeuner de rêve
Enfin un acéquias, la marche va être un peu plus aisée
Rien à l’horizon, ni sentier, ni carrefour.
Les taches vertes sont des point d’eau
Par où passer ?
Parfois nous avons besoin des mains pour accéder au sommet
IL ne me faut pas grand chose pour une sieste.
Notre bivouac, heureusement que la tente est auto-portante
Une visite
Les flèches indiquent notre descente
Mes jambes tremblent en voyant le sentier que Laetitia désigne
Un névé, amusons nous un peu!
Une étagne bien gourmande au sommet de L’Alcazaba
Bain revigorant
Le sommet du Mulhacen, 3478 mètres
Descente du Mulhacen
Notre bivouac au sept lagunes, le matin il a gelé
Emerveillement!

Les beaux villages blancs de l’Alpujarra

Les fruits du mûrier à soie
Très juteux!
Le chataigner nous laisse entrevoir Capileira
Au restaurant El Gato et les cheminées typiques

Du tourisme chez les  » Brujas « 

Randonnée sportive depuis Lanjarron

Sentier aux pierres disjointes pour les paysans et leurs mules.
Bivouac à 1600 mètres, il fait encore très chaud
Super un sentier balisé
Des pierres couleur or!
Un sentier aménagé pour descendre les minerais
Au milieu de nul part un passage équipé de chaîne. heureusement pour nous!
Montée rapide du brouillard, nous sommes encore à 2700 mètres
Rien de tel qu’un bon bain pour repartir plein d’énergie!
Nous arrivons dans le monde minéral, le balisage s’arrête.
Monté du Caballo, dans le fond la lagune du même nom, d’ou nous venons.
Sommet de Caballo 3005 mètres

Balade dans Los cachoros

Les éboulements sont resté coincé et ont laissé libre le cour d’eau
Un peu de souplesse
Toujours impressionant dans le balancement les passerelles himalayenne
Quelle force!

Circuit autour du Pico Veleta

Le Pico veleta et le lever du soleil
Le sommet du Veleta 3396 mètres
Le Mulhacen et sa face la plus difficile physiquement. Je songe, elle manque à notre palmarès !
Bien installé pour le souper
Après la cuisine, la chambre à coucher.
Lever de soleil depuis notre cabane.
On distingue un peu le sentier.
On descend, descend, descend…où se trouve Laetitia ?
Flèche jaune le sommet du Pico Veleta, flèche verte où nous devons nous rendre pour rejoindre la rouge et gravir le Cerros de Los Machos
Au sommet , reine du monde !
Coucou je suis là!

Une boulimie de 3000

Satisfaction
Une crête relativement plate avec un sable jaunâtre
Un peu d’équilibre avant de repartir
Cette fois-ci il faut les mains
Les portes de sorties
A 3100 mètres d’altitude, la puissance des plantes.
Mais par où passe t’on ?
Il y a toujours une solution.
Le style n’y est pas toujours
Retour sur un terrain plus facile.
Rencontre particulière

L’amour de l’effort la troisième face du Mulhacen

Le paysage grandiose nous redonne vigueur.
Nous avons presque le béguin des cairns
Laetitia s’engage la premère.
De temps en temps regarder derrière soi.
La pente est impitoyable au milieu de ces cailloux.
Panorama du sommet.
j’ai bien eu raison de me libérer de mon maillot à manches.
Le renard s’en prend à mon sac à dos.
Nous voici pour la troisième fois au sommet du Mulhacen, 3478 mètres.
Le cirque des sept lagunes.
Le sentier longe les cascades.
Arrivée à la dernière fontaine nous faisons une pause…
Trevélez un village qui s’égraine sur le flanc de la montagne.
Quelques feuilles de menthe dans la gourde.
Un noyer à la stature imposante
Le sentier traverse des herbes d’alpages…
Quand est-ce que l’on remonte ?
La salmojero!

Un objectif original

Regars sur les trois villages, Capileira, Bubion, Pampaneira
Une voiture est restée figée.
Ces statuts sont en harmonie avec la nature
Une pause sous un bouquet d’arbres.
Les portes sont fabriquées avec d’anciens sommiers
Tenue d’Eve et d’Adam nous prenons un bain vivifiant
Les cheminées à l’architecture originale

Une route des vins haut perchée

De tout petits ceps entre 1100 et 1400 mètres
Restaurant et viticulteur

Boucle dans la vallée de Berchules

on remarque bien les différents étages de la végétation
Un chef maure fut assassiné en ce lieu.
Nous empruntons d’anciens sentiers de pierre.

Randonnée au Puerto de la Ragua

Chaque sommité va nous élever un peu plus.
On y voit des assiettes superposées
Les lichens c’est de l’orfèverie.
Un aigle botté vient nous survoler.
Au loin nous apercevons le Mulhacen.
Nous passons des fourrés légèrement agressifs.

Une randonnée épique

Un papillon viens nous souhaiter bonne route.
De retour au refuge nous installons notre bivouac.
c’est un prodige de se réveiller avec l’astre luisant qui s’élève.
Ces premières sommités ont pour chapeau d’imposants blocs.
Le vent dans sa danse nous apporte un peu d’ombre.
Ces batiments qui défigurent le sommet
De ce promontoire se dévoile devant nous la suite de notre randonnée. Flèche bleu lieu d’arrivée, flèche mauve piste pour le retour.
La laguna Seca.
Afin de réfléchir une bonne tisane.
Une résurgence qui n’est plus assez puissante pour s’évader.
Bivouac au mirador Loma de la Pandera.
les écureuils qui jouent de branche en branche.

Un désert au pied du massif

Des falaises avec une gamme de couleur.
Nous allons êtres cerné par des canyons, des ravins…
Une fine étoile posée sur une dentelle
Le pin d’Alep
A cet instant ce qui manque à ce lieu, un orchestre philarmonique.
recueillement et méditation voilà l’invitation…
On distingue bien la piste qui remonte.

Une sortie qui finit en queue de poisson!

L’espace dégagé offre une vue…
Un pont qui va disparaitre sous la végétation.
Nous savourons notre souper alors qu’un rideau rouge…
On distingue aisément les trainées de pluie…
Un sentier qui grimpe dans les prairies d’alpage…
Là ou se trouvent les touffes d’herbe est le lieu où l’avion s’est posé en catastrophe.
La cuscutte s’agrippe à un chardon.
La grâce de l’ancolie

Coups de théâtre successifs.

Après cette douce nuit à la belle étoile, le ciel s’illumine.
Face à nous le pico de Jerrez
Le sommet Pico de Jerrez 3090 mètres
A l’abri d’un rocher, j’installe le foyer.
Nos pates au trois fromages cuisent vite.
Des nuages jouent avec le soleil et les sommets.
Nuage menaçant arrive.
Nous redescendons d’un bon pas.
Nous l’avons notre bivouac à la belle étoile.
Petit déjeuner avec lever de soleil.
Il ne reste plus qu’à remballer tout le bazard.
Rien de tel qu’un bain de pied dans un acequia.
En levant les yeux nous apercevons le cerro del Gallo ou nous devions bivouaquer.
Tout nos sens sont éblouis par le lever de soleil.

Au milieu des cirques glaciaires

Le sentier s’élève et se faufile dans les roches
Nous voici dans un vallon à l’herbe tendre
Nous passons du monde de la verdure à celui du minéral.
Quel plaisir avons nous tous les jours à grimper ?
C’est un mariage entre elle et nous.
Je pose notre pierre au sommet d’un cairn géant.
Dans tous le massif on trouve ces petits murets qui permettent de s’abriter du vent.
Un beau plat de pâtes carbonara même froide va nour requinquer.
El Castillejo est une grande roche isolée.
La roche que nous avions utilisé comme repère est complétement absorbé dans le massif du Pico de Jerrez.
Le Lavaderos de la Reina
Le pot de l’amour…

Une dernière randonnée palpitante

Un châtaigner époustouflant
 » Abuelo  » …
émerge majestueusement le maître des lieux!
Les montagnes avec le spectacle de la lumière…
Le refuge et le matériel abandonné.
Un panorama de rêve.
Avec juste la moustiquaire, le matin à l’ouverture des yeux…
Fleche orange le pont ou nous allons redescendre, verte le Casillas, bleue retour au niveau du rio Génil, violette la montée final, puis notre arrivée au pied du Mulhacen.
Refugio natural Cueva Secreta
Le papillon écaille chinée
Un goult d’étranglement nous impose l’utilisation des mains.
Le rio Genir effectue une cascade incroyable
La lagune de la Mosca
Regard sur notre montée et la vallée d’où venons. Immense satisfaction.
Nous installons la tente dans l’un de ces abris en pierre, nous ne gênerons pas les cabras montes pour pâturer.
Rêverie au soleil couchant, jeu de lumière sur la face du Mulhacen.
Nous amorçons la descente avant que la pluie n’arrive.
Nous allons pouvoir prendre notre petit déjeuner.
Les nombreux papillons mènent un…
…ballet aux couleurs variées.
Nous portons un dernier regard vers ces cimes.
Le rideau tombe, tant de lever ou coucher de soleil nous ont émerveillé.

Le Pico Veleta à vélo

Satisfaction d’atteindre les 1000 mètres
Les lumières de la ville…
La forme particulière de l’un deux, nous ignorons que c’est lui!
La route est interdite aux véhicules
Nous sommes obligés de mettre pied à terre…
Laetitia fatigué, continue sans lui…
Le sommet est à deux cent mètres le défi est gagné !
Pico Veleta 3394 mètres