Comment je m’y prends pour écrire !

Comme dans toute ma vie,  j’applique une règle, ne pas avoir de règle c’est mon idée de la liberté. 

Je gribouille des pages dans un cahier que j’ai parfois du mal à relire ou alors je pianote directement sur l’ordinateur.

Par contre, j’aime bien écrire la nuit ou tôt le matin.

J’ai un principe de vie très simple quand je suis fatigué, je dors, que ce soit le jour, la nuit. Je m’allonge, la fatigue passée, je me réveille et je suis prêt pour agir. Je peux me réveiller à n’importe quelle heure de la nuit, rien ne sert de tourner dans le lit ; de laisser place au moulin de pensées pour se complaire dans le ruminement d’événements passés.

Donc je me lève, je me prépare un café, c’est alors que seul avec la nuit et le hululement de la chouette dans le lointain, les idées me viennent aussi fluides que le ru parcourant la prairie fleurie dans un léger murmure.

Mes doigts dansent avec le stylo ou sur le clavier, les idées se juxtaposent et mon cœur enthousiaste saute de joie. 

Mes pensées doivent être claires si un obstacle interrompt le fil de l’esprit, cela devient heurté ou lourd, je n’insiste pas ; soit je passe à autre chose ou je retourne me blottir contre ma bien-aimée.

Mais je n’écris pas que la nuit j’écris aussi dans la journée, rarement le soir. 

Si une idée me traverse et, zut ! je n’ai ni crayons ni papier, je bénis les outils modernes, car le bloc-notes de mon portable va m’être utile.

En règle générale quand j’écris je souhaite être dans un lieu que j’aime ou je me retrouve en sérénité avec du silence. J’ai besoin d’être proche de la nature et particulièrement des arbres, c’est ce cadre que je retrouve à l’Ecopark où nous sommes installés. Cela ajoute une sensation d’énergie qui me donne force et inspiration.

A suivre…