Je veux vous parler vélo, mais avant cela où en sommes nous?
Voici déjà quinze jours que nous sommes de retour au Portugal.
Un ciel immaculé au milieu duquel luit un soleil resplendissant d’énergie.

Nous en profitons pour mener chaque matin un footing de plus de 10 kilomètres ou une sortie vélo.

Après l’aération musculaire et cellulaire, c’est un travail studieux qui m’attend et que je partage bien souvent avec Laetitia; la préparation du livre.
J’harcle ma matière grise, elle joue avec les mots et les phrases. Laetitia m’aide à parachever l’oeuvre pour qu’elle soit palpitante et plaisante a lire. Et tout cela accompagné du chant des cigales.🪰
Vous découvrirez lors de la lecture des souvenirs de voyage, le retour sur l’enfance, des réflexions philosophiques et des questionnements sur la vie, voilà ce que l’on vous réserve.
Tout se met en place, la sortie numérique du livre sera un peu plus tardive disons pour la mi-juillet et à l’automne une sortie papier
Mais dans un morceau de notre tête germe un besoin de repartir, chevaucher nos vélos pour découvrir Grenade, la sierra Nevada…
Alors nous vérifions le matériel et nous nous remettons en selle pour que nos jambes reprennent le rythme du cyclovoyage.

Je vais vous présenter nos destriers, des TX 400 de marque fahrrad manufacture qui ont déjà avaler environ 40 000 kilomètres.

Nous n’avons eu aucun problèmes mécaniques si ce n’est l’usure normale de certaines pièces.m, c’est ce que nous recherchions en achetant ce type de vélo.
Les portes bagages sont robustes et résistent au poids de nos sacoches.

Les pneus? Nous optons pour des » Schwalbe marathon plus « , increvables. Lors de notre voyage de 21 000 km, les 4 crevaisons que nous avons supportées étaient dûes à des pneus d’une autre marque ou une forte usure, par inadvertance de notre part. Pour en savoir plus sur la qualité de ces pneus aller faire une visite sur le site de Schwalbe.
Sur ces vélos nous avons une position très confortable, c’est primordiale quand on y passe plusieurs heures. Pas trop coucher ni trop relevé, ce qui va jouer aussi pour le confort c’est le guidon, je vais y venir.

L’essentiel quand vous achetez votre vélo c’est de prendre le temps de l’essayer et ne pas hésiter à en essayer de différentes sortes. Bien ressentir le freinage,les passages de vitesses, faire de petites accélérations. Il faut vous sentir à l’aise, vous dire avec cet engin je me sens capable de rouler au bout du monde. Recherchez la robustesse et le confort!
Concernant le guidon nous avons opté pour des guidons qui nous permettent de changer de positions, afin d’éviter tout enquilosement. Se redresser dans une forte montée permet de mieux ouvrir son thorax et d’apporter de l’air à l’organisme.
Laetitia a choisi un guidon papillon, au côté confort elle a rajouté le plaisir personnel d’avoir un guidon au forme de l’insecte aux couleurs éclatantes apportant aux prairies grâce et flamboyance.

Oups!! Il doit y avoir erreur 🤔

En ce qui me concerne j’ai opté pour des cornes de même marque que celle d’origine mais plus longue avec un retour.

Autre élément primordiale pour le confort : la selle. Laetitia depuis le début a optée pour une selle Italienne ( les meilleurs sur le marcher) avec un gel et surtout une ouverture dans le centre qui lui apporte un confort important pour le périnée.

Moi jusqu’à présent j’avais la selle d’origine de marque selle Royale qui m’offrait une assise… royale! Mais bien fatiguée pour avoir supporté aussi longtemps mon arrière train, je viens de la changer. J’ai racheté une selle de même marque un peu plus large avec aussi une gouttière en son centre pour le périnée. C’est l’avenir qui me dira si le choix est bon. Lors des premiers coup de pédale mon fessier ne se plaint pas et à apprécié l’assise; bien entendue royale.

Un dernier point pour le confort: les béquilles. C’est nécessaire afin de s’arrêter sans obligatoirement chercher un endroit pour poser le vélo. Le voir tomber car il se déséquilibre peut être fâcheux.
Le souci que j’ai rencontré c’est de trouver une béquille solide permettant de supporter les 40 kg voir plus. Après de nombreux essais de différentes marques, j’ai trouvé la solution très simple: deux béquilles et depuis plus de problèmes. Il peut y avoir d’autres solutions, tel qu’une béquilles à l’avant en plus de l’arrière ou une béquilles central mais sur ce type de vélo impossible d’adapter une béquille centrale et compliqué pour celle de devant.

Je terminerai par un élément important qui paraît pour beaucoup un point de sécurité mais auxquels il faut allier le confort : le casque! Indispensable pour protéger la tête en cas de chute mais aussi se protéger du soleil. Par contre ne jamais se dire un casque c’est un casque et partir sur une entrée de gamme. Au niveau sécurité ils ont tous les normes NF, mais la différence va se faire sur la légèreté, l’aération très importante quand vous avez cette » gamelle » sur la tête par 35° et pendant plusieurs heures. Moi j’ai opté pour un casque de la marque Scott sans visière, je trouve que cette dernière me gêne.

Laetitia a choisi un casque de marque Cairbull avec visière, c’est important pour les jours où le ciel est gris, elle ne porte pas de lunettes, la visière protège ses yeux.

Si vous désirez plus d’info ce n’est pas compliqué adressez nous un message ; vous pensez que cela peut intéresser d’autres personnes tout simplement partagez!😉
Et n’oubliez notre chaîne YouTube ou Laetitia cette semaine parle aussi vélo.
Enfin pour conclure dans la revue Outdoor go de ce mois-ci, il y a tout un article nous concernant sur le matériel que nous avons utilisé pendant notre périple de 16 mois.

